Résumé : Sur la scène romantique, après le séisme de la Révolution, l’aura du personnage royal pâlit, son pouvoir s’étiole et décline. La censure et la presse, y compris libérale, perçoivent cette évolution comme un attentat non seulement contre le pouvoir en place, mais aussi contre les bonnes mœurs. La presse fonctionne alors comme un relai de la censure officielle, chargée de faire respecter une certaine idée de la France, du pouvoir, et de s’ériger contre la décadence qui transparaît sur la scène.