Résumé : Ce poème contient déjà toute la vision larbaldienne du cosmopolitisme. Plus qu’une volonté d’ouverture à l’autre dans et par les voyages (Voyageuse, ô cosmopolite), il est le fait d’une sensibilité personnelle à l’architecture sensuelle de l’univers (les doigts légers du vent) et il relève d’une forme particulière d’être au monde par la poésie, notamment celle de Théocrite et de sa paix bucolique.