Résumé : Interrogeant le rapport au hors-scène dans La Mariane, La Mort de Sénèque et Osman, cet article explore d’une part l’attachement de Tristan L'Hermite à l’hypotypose qui lui permet d’essaimer dans ses pièces une multitude d’effets de foule et offrir ainsi un horizon collectif à ses fables. D’autre part, en se concentrant sur les jeux de symétrie et de contraste entre ces différents récits, il montre que ceux-ci, tout en « peuplant » les pièces, participent plus largement de leur tension dramatique.