Résumé : Tristan L’Hermite partage avec les poètes du XVIe siècle le goût de la varietas et de la dispositio réglée, mais souple, qui favorise de multiples lectures d’une poésie aux formes ouvertes. Fortement individualisées, ses pièces poétiques confèrent une cohérence aux livres par leur appartenance à un espace commun, comme chez Baïf et Ronsard. Les fils qui les relient aux autres pièces semblent ténus, tant celles-ci sont marquées par la diversité et placées dans un environnement disparate.