Résumé : Le mythe d’une filiation entre Tristan et Quinault reflète-t-il une véritable transmission littéraire entre les deux académiciens ? Si elle est peu démontrée dans le genre comique, leurs tragi-comédies ont en commun la dévalorisation du néo-stoïcisme et Quinault écrit bien ses pastorales sous l’influence de Tristan. L’Académie française y a cependant peu de part, tant cette institution a évolué entre les époques où ces auteurs y ont été reçus.