Résumé : Au-delà des apparences selon lesquelles Tristan L’Hermite se situe dans le sillage de Malherbe et de Balzac, son œuvre apporte une réponse personnelle et discrète aux débats académiques. Une véritable pensée linguistique sous-tend l’usage tristanien de l’hyperbole, ou son choix de la prose ou du vers, mû par une logique sémantique. Le bel usage y est moins déterminant que le sens.