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Classiques Garnier

Bibliographie / Chronique

  • Type de publication : Article de revue
  • Revue : Cahiers Tristan L’Hermite
    2000, n° 22
    . varia
  • Auteurs : Banderier (Gilles), Chauveau (Jean-Pierre)
  • Pages : 90 à 95
  • Réimpression de l’édition de : 2000
  • Revue : Cahiers Tristan L’Hermite
  • Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
  • EAN : 9782812440076
  • ISBN : 978-2-8124-4007-6
  • ISSN : 2262-2004
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-4007-6.p.0090
  • Éditeur : Rougerie
  • Mise en ligne : 29/12/2012
  • Périodicité : Annuelle
  • Langue : Français
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BIBLIOGRAPHIE

(Erratum. Dans le CTLH XXI, lire les n°' de 465 à 476, et non de 365 à 376 ).
1997

(477) GUILLOI' Catherine. « Image et représentation théâtrale : le frontispice d'A. Bosse pour La Mariane de Tris[an L'Hermite », Revue d'Histoire du théâtre, 1997-2, p. 15]-162.
1998

(478) GARRETA Anne F. « Le Page disgracié; problèmes de l'auto- biographie baroque, Esthétique baroque et imagination créatrice ». Actes d'un colloque de Cerizy-la-Salle. Édités par Manies Kronegger, Biblio 17, n° 110, Tübingen, Günter Narr Verlag, 1998, p. 81-98.
(479) Hout.E Martha M. « Ingegno baroque et jouissance dans deux textes [L'Extase d'un baiser et la carte du Royaume d'Amour] de Tristan L'Hermite », ibid., p. 147-152.
1999

(480) BÉNARD Mylène. La libre écriture dans Le Page disgracié de Tristan L'Hermite et La première journée de Théophile de bau. Mémoire de DEA, dir. Jean-Michel Racault, Fac. Des lettres et sc. hum. de l'unie. de la Réunion, 1999, 30 x 21, p. 185 p.
(481) BEttRecnttD Sandrine. « Le caractère autobiographique des Lettres meslées », CTLH XXI, p. 37-45.
(482) Bttnv Bernard. « Tristan L'Hermite écrivain par lettres », CTLH XXI, p. 25-36.
(483) Cahiers Tristan L'Hermite XXI, 1999, « Tristan L'Hermite : Proses », Mortemart, Rougerie, 1999, 64 p. Cf. S. Berregard, B. Bray, E. Desiles, I. Du Ryer, M. Israel, C. Thiollet, A. Tournon. Comptes ren- dus. Bibliographie. Chronique.
(470) Cahiers Tristan L'Hermite XX, 1998, « Tristan poète de l'amour ». C.r. Felicità Robello, Studi Francesi, 127, janv.-avr. 1999, p. 157.
(484) DEStt,es Emmanuel. « La dimension métalangagière du Page disgracié », CTLH XXI, p. 17-24.
(485) Du RYER Isaac. « Deux sonnets pour Monsieur Tristan », CTLH XXI, p. 59-60.
(486) Istt,aEt, Marcel. « Quand Isaac Du Ryer saluait l'avènement de Tristan », CTLH XXI, p. 57-58.
(413-414) Glasgow Emblems Studies. « A Newly Discovered Manuscript of Poetry by Tristan L'Hermite », Emblems and the Manuscrit Tradition, vol. 2, Univ. of Glasgow, 1997. C.r. Cristina Bertazzoli, Studi Francesi, 127, janv.-avr. 1999, p. 157-158.
(487) Pnttn-tenrr[Ett Bérengère. « L'espérance dans Le Page disgra- cié : une fable incertaine », Revue des sciences humaines, « Morale et fic- tion aux xvtt` et xvnt` siècles » , 234, avr.-juin 1999, p. 23-31.
(488) Poètes français de l'âge baroque. Anthologie (1571-1677). Choix, présentation et notes Jean Serroy. Paris, Imprimerie nationale Édi- tions, 1999, 20,5 x 15,5, 541 p. (Tristan p. 414-434).
(489) Ttttot,~eT Catherine. « Variations sur la disgrâce dans Le Page disgracié », CTLH XXI, p. 5-15.

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91 (490) TouluvoN Anne. « La conception tristanienne de la justice dans les Plaidoyers historiques », CTLH XXI, p. 46-55.
(491) TRISTAN L'HERM[TE. ouvres complètes. Tome I. Prose. Publié sous la direction de Jean Serroy. Avec la collaboration de Bernard Bray, Amédée Carriat et Marc Fumaroli. Paris, Honoré Champion, 1999, 22,5 x 14,5, 448 p.
(492) TRISTAN L'HERMITE. ouvres complètes. Tome V. Théâtre (suite). Plaidoyers historiques. Publié sous la direction de Roger Guichemerre. Avec la collaboration de Daniela Dalla Valle et Anne Tournon. Paris, Honoré Champion, 1999, 22,5 x 14,5, 502 p.
2000

(493) Anthologie de la poésie française. Moyen Âge, xvi' siècle, xvtt siècle. Textes choisis, présentés et annotés par Jean-Pierre Chauveau, Gérazd Gros et Daniel Ménager. Paris, Gallimard, Bibl. de la Pléiade, 2000, 18 x 1 I, XIII-1587 p. (Tristan, p. 1094-1114, 1499-1504).
CHRONIQUE

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 19 JUIN 1999. —Elle se tient à la Sorbonne, dans la bibliothèque de l'institut de français, sous la prési- dence de M. Jacques Morel. Sont présents : Mmes Véronique Adam, Francine Arnold, Françoise Graziani, Magdeleine Michaud, Anne- Élisabeth Spica; MM. André Blanc, Amédée Carriat, Jean-Pierre Chauveau, Patrick Dandrey, Boris Donné, Alain Génetiot, Yvan Germain, Roger Guichemerre, Jacques Morel, Guillaume Peureux, Guido Saba, Jean Serroy. Se sont excusés : Mme A. Mansau, MM. J. Chupeau, J.P. Collinet, J. Dubu, E. Guitton, J. Prévot. Soixante-cinq pouvoirs on[ été reçus.
Rapport moral (J. Morel). Hommage est d'abord rendu à notre regretté trésorier Jean Michaud, décédé le 26 mars. Après approbation du compte rendu de l'assemblée générale du 12 juin 1988, rappel est fait de nos activités de l'année écoulée qui voit se maintenir le nombre de nos adhérents (121 cotisations sont rentrées à ce jour), quelques défections compensées par autant d'adhésions nouvelles. Vient de paraître le n° XXI des Cahiers, en cours de diffusion, dont Rougerie confie désor- mais l'impression à Plein Chant, 16120 Bassac. Signes encourageants de la confiance qu'on nous témoigne : se sont abonnés, en acquérant la collection complète de nos Cahiers, l'université de Provence (Aix- Marseille) àl'instigation de M. Emmanuel Desiles, et la bibliothèque Gaston-Baty (Paris III) que dirige Mme Colette Scherer; M. Mazc Fumaroli a loué, dans la revue xvu° siècle, notre « vaillante petite revue [...] qui a porté tout le poids, un peu excessif pour elle, des études poé- tiques du dix-septième siècle ». Nos remerciements vont encore à Olivier Rougerie, pour la présentation de notre publication, et au Centre national du livre, où notre dossier est désormais suivi paz Mme Sophie Romain.
Rapport financier (A. Carriat). Du 15 juin au 31 décembre 1998 : recettes 10435 F (dont subvention CNL 1998, 10000 F; dépenses

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92 14260 F (dont impression des CTLH XX, 12950 F). Du 1°f janvier au 15 juin 1999; recettes 11583 F (dont cotisations 10497 F, subvention du CNL à venir); dépenses 13333 F (dont impression des CTLH XXI 10700 F). Avoir sur CCP 25283 F. Après approbation du rapport finan- cier, l'assemblée générale approuve la proposition du conseil d'adminis- tration du 15 mars de porter les cotisations à venir à 85 F au lieu de 75F (adhésions simples) et à 120 F au lieu de 100 F (membres bienfaiteurs).
Conseil d'administration. 1°Sont reconduits les mandats de Mmes Yvonne Bellenger, Gisèle Mathieu-Castellani, Andrée Mansau, et de MM. André Blanc, Jean Dubu, Alain Génetiot, Roger Guichemerre, Édouard Guitton, Jacques Morel, Jacques Prévot. — 2° Sont nouvellement élus : Mmes Véronique Adam, Anne-Élisabeth Spica, et MM. Boris Donné, Yvan Germain et Guillaume Peureux.
Projets. 1° Cahiers Tristan L'Hermite XXII (2000) : Le thème retenu par le C.A. de mars est approuvé (« Tristan, Théâtre »). Collaborateurs pressentis : Charles Mazouer (J.-P. Chauveau), Isabelle Grellet, Catherine Guillot (A. Carriat); autres : André Blanc, Boris Donné, Georges Forestier... — 2° Colloque envisagé en 2001, en rapport avec l'édition des ouvres complètes chez Honoré Champion et le 4e cen- tenaire de la naissance de Tristan, avec l'aide des dix-septiémistes de Montpellier ou de Poitiers (~). — 3° Jean Serroy évoque l'exposition Le Sueur prévue à Grenoble au printemps 2000, accompagnée d'un col- loque, auquel sont conviés les tristaniens; J.-P. Chauveau suggère qu'à l'occasion se tienne à Grenoble le C.A. de l'année 2000. — 4° ouvres complètes, édition Honoré Champion : Le tome I est sous presse, le tome V également; le tome IV a pris du retard, qui va être comblé dans les mois qui viennent.
Élection du bureau. Sont reconduits dans leurs fonctions : Jacques Morel, président; Jean-Pierre Chauveau et Françoise Graziani, vice- présidents; Amédée Carriat, secrétaire; Yvan Germain est élu à l'unani- mité trésorier de l'association en remplacement de Jean Michaud.
DEUX RENCONTRES —Noue ami Marcel Israel a publié, dans le n° XXI (1999) des Cahiers, deux sonnets composés par Isaac Du Ryer et dédiés à Tristan. La seconde de ces pièces appelle une remarque.
Un vieil adage veut que les dieux donnent au poète le premier vers de son oeuvre et que le reste soit ensuite affaire de travail personnel. Nous ne saurons sans doute pas si les dieux ont visité Isaac Du Ryer en ses modestes bureaux de l'octroi, peu faits pour les attirer, mais s'ils lui ont jamais fourni un seul vers, ce n'est à coup sûr pas le premier vers du son- net « À Monsieur Tristan ». Il faut plus prosaïquement imaginer Du Ryer occupé, peut-être entre deux passages de marchandises, à feuilleter un volume de Du Bartas, puisque ce vers « je n'estois pas encore en l'avril de mon age » reprend au mot près le vers initial de l' Uranie (« je n'estoys point encor en l'avril de mon âge »). On notera que ce vers (et ceux qui le suivent) n'apparaît que dans les éditions de la Muse Chrestienne publiées à partir de 1579 (l'originale date de 1574). Il n'est ainsi pas interdit de penser que Du Ryer a lu le poète gascon dans l'édition

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93 blésoise de Barthélémy Gomet (1579, p. 118 ), que notre ami connaît bien. Né en 1568, Du Ryer n'est que de vingt-quatre ans le cadet de Du Bartas; autant dire : une seule génération les sépare.
La seconde rencontre à laquelle nous souhaiterions convier les amis de Tristan est plus étrange. Il est admis que le français est une langue au lexique riche et que les combinaisons auxquelles peut donner lieu l'assemblage des mots, même dans le cadre étroit de l'alexandrin, sont de fait pratiquement illimitées. Un statisticien ne manquera pourtant pas d'observer que se pourront trouver, sur les millions d'alexandrins com- posés par tous les poètes français ou francophones, deux vers fortuite- ment identiques, mais point sur le même sujet.
Les lecteurs de Tristan connaissent l'admirable poème qui s'intitule « L'ambition tancée » (La Lyre, 1641, éd. J.-P. Chauveau, p. 104-105) et imite de fort près, comme l'a montré Catherine Grisé, le sonnet de Marino Memento homo quia crois... Rappelons le vers 4 de ce sonnet, qui décrit un paon : « Et les fleurs du Printemps, &les astres des Cieux ».
Paraphrasant, en 1805, non plus Marino, mais le Paradis perdu de Milton (chant VII, v. 444-446. Il s'agit là aussi du paon, « whose gays Traîne/Adorns him, colour'd with the Florid hue/Of Rainbows and Starrie Eyes »), Jacques Delille emploie presque le même vers (« Il semble réunir dans son arc radieux/Et les fleurs de la terre, et les astres des cieux » , tEuvres, Paris, Michaud, 1824, t. XIV, p. 315 ).
II était naturellement possible de traduire autrement (« cet autre que rendent tout fier ses yeux étoilés, &les brillantes nuances de l'Arc-en-Ciel dont il est coloré »> Le Paradis perdu, Paris, Ganeau, 1749, t. II, p. 24; cf. également la traduction de Chateaubriand, en « Poésie-Gallimard », p. 208).
La question se pose inévitablement : est-ce un hasard ou Delille a- t-il connu, d'une manière ou d'une autre, l'ceuvre de Tristan ? La grande thèse de M. Édouard Guitton (Jacques Delille et le poème de la nature en France de 1750 à 1820; Paris, Klincksieck, 1974) ne permet pas de résoudre le problème. Nous savons que Delille fut, comme La Fontaine, un lecteur vorace et curieux (« il aimait l'étude, il l'aima toute sa vie », thèse cit., p. 145). Avait-il ouvert une édition ancienne de La Lyre ? Tristan aurait-il figuré dans les anthologies poétiques du temps, comme le Portefeuille d'un homme de goût ou l'esprit de nos meilleurs poëtes (1765 et 1770) ou l'Élite des poésies fugitives de Blin de Sainmore (1769-1770), ainsi que nous l'a suggéré M. Guitton ? S'agit-il d'une de ces rencontres fortuites, dont nous avons parlé plus haut ? Peut-être est-il possible de trouver deux vers presque identiques, sans qu'il y ait influence d'un poète sur un autre, mais que dire quand cette rencontre a lieu à propos du même objet ? Si ce n'est là que l'effet du hasard, nous laisserons aux statisticiens le soin d'affronter une aussi troublante excep- tion àleurs théories. —Gilles Banderiez.
PRESTIGE DE LA MAR/ANE. —Marcel Israel vient de découvrir un témoignage intéressant du prestige durable de La Mariane et de son auteur au xvtt" siècle. Déjà en 1660, dans l'un de ses Discours, Corneille, en étudiant les conditions d'un bon dénouement de tragédie, avait rendu hommage au talent de son confrère, n'oubliant pas que le succès de La Mariane au Marais avait précédé de peu celui du Cid. Or voici que
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94 M. Israel a relevé cet autre hommage à peu près contemporain, —d'autant plus significatif qu'il est évident que les noms d'Hérode et de Mariane suffisant, sans qu'il soit besoin de citer le nom de l'auteur —, dans une note dont Charles Cotin (dont Molière fera la caricature, pour une fois bien excessive, dans ses Femmes savantes) a assorti sa traduction en vers du Cantique des cantiques (La Pastorale sacrée ou Paraphrase du Cantique des cantiques, avec plusieurs Discours et Observations, Paris, Pierre Le Petit, in-12, 1662). On peut lire en effet au deuxième chapitre de cet ouvrage, p. 314, la remarque suivante :
« ...Si j'en croy mes Confreres de l'Académie Françoise, et Monsieur l'Abbé de Marolles, ce que je remarque icy que ce discours de l'Epouse se fait durant son sommeil [Cantique des Cantiques, V] sert plus à l'intelligence de la pièce et à la beauté de ce Poëme dramatique, que tout ce qu'en ont jamais di[ les Commentaires. Herode qui ravit tous les spectateurs sur le Theatre de La Mariane, quand il est tourmenté par la vision de sa Reyne infortunée, n'est pas un meilleur personnage que cette Epouse du cantique, à laquelle le songe montre son Epoux, et le montre avec toutes les graces et toutes les Beautez du Printemps. On n'a jamais fait parler une personne avec plus d'art ».
Bel hommage à l'art de Tristan dramaturge. Mais qu'eût-il pensé lui-même de ce rapprochement entre le songe d'Hérode et le songe de l'Epouse du Cantique ? — Jean-Pierre Chauveau.
THÈSES ET MÉMOIRES. — 1° À l'université d'Indiana (Bloomington) une thèse de doctorat a été soutenue par Brigitte Porter, intitulée Du centre à la périphérie : deux autobiographies de Tristan L'Hermite et Dassoucy, sous la direction du professeur Dominique Froidefond. — 2° À l'université de Paris X (Nanterre) a été soutenue avec succès une thèse dirigée par Jacques Prévot et qui fait sa part à l'oeuvre de Tristan : Lionel Philipps, Le Trompe-l'a'il littéraire. D'une esthétique de la surprise à la tentation du silence. — 3° À l'université de la Réunion (oit elle a entrepris de créer un site Internet consacré à Tristan), Mylène Bénazd a rédigé, sous la direction du professeur Jean-Michel Racault, un mémoire de DEA rapprochant Le Page disgracié de La Première Journée de Théophile (voir supra le compte rendu); — 4° À l'université Stendhal (Grenoble), Jean Serroy a dirigé un mémoire d'Ivan Perrot sur L'émancipation de l'écriture dans « Le Page disgracié  ».
MUSIQUE. — On sait comment Tristan prit sa part dans l'organisa- tion des fêtes de cour, notamment des ballets dans l'entourage de Gaston d'Orléans. Si les vers de ballet qu'il écrivit en 1626 et 1627 furent mis en musique par Antoine Büesset (voir CTLH n° 6, Catherine Massip, « Tristan L'Hermite et ses musiciens », p. 44), ceux du ballet des Quatre monarchies chrétiennes de 1635 doivent leur musique à Estienne Moulinié (1599-1676), qui est devenu, dès 1627, Chef de la Musique de Monsieur. Même s'il ne renferme, à première vue, aucune musique composée sur des vers de Tristan, un superbe CD (Estienne Moulinié, « L'Humaine comédie », par le Poème harmonique, dir. Vincent Dumestre, Alpha 005) met à la disposition des amateurs un lazge éventail de la production de ce musicien, si représentatif de la sensibilité et de l'expressivité à la fois passionnée et retenue, qui sont la mazque des musiciens français de l'époque Louis XIII. — Jean-Pierre Chauveau.

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95 EXPOSITIONS EN VUE. —Dans le cadre des célébrations natio- nales de l'année 2001, nous pouvons d'ores et déjà annoncer les mani- festations suivantes :
— à Paris, à la Bibliothèque Mazarine, en avril-juin, une exposition des éditions anciennes de Tristan et de documents d'archives ;
— à Limoges, à la Bibliothèque francophone multimédia, à la fin de l'été, une exposition d'ceuvres anciennes et modernes, de travaux consa- crés en France et à l'étranger aux divers aspects de son oeuvre et de docu- ments divers;
— à Janaillat, lors d'une 3e Journée Tristan L'Hermite, en août, une présentatiôn d'« Images d'hier et d'aujourd'hui ».
D'ici là, les Cahiers Tristan L'Hermite auront été présents 1° à la librairie Nicaise, 145 boulevard Saint-Germain, dans une exposition organisée sur les Sociétés littéraires des amis de..., du 15 septembre au 31 octobre; 2° au l0e Salon du livre, à l'Espace Tapis rouge, 67 rue du Faubourg-Saint-Martin, les 14 et 15 octobre prochains.






















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