Résumé : Tristan Corbière s’est présenté dans un poème des Amours jaunes, comme « bâtard de Créole et Breton ». Il a aussi vécu quelque temps à Paris, dans le quartier du bas-Montmartre, où il a habité dans une chambre au 10, rue Frochot. Cet article situe cette rue dans un quartier marqué par la présence d’artistes et analyse la présence du quartier dans une langue poétique d’une puissante et émouvante originalité.