Résumé : Depuis Verlaine, la critique a aperçu une division identitaire et poétique dans Les Amours jaunes entre un Corbière parisien et un Corbière breton. Cette étude analyse cette symétrie et scrute plus particulièrement la place centrale de la section « Raccrocs » dans Les Amours jaunes aussi bien que le microcycle des poèmes italiens qui s’y trouvent enchâssés. Cette analyse suggère qu’il est nécessaire de reconnaître l’influence d’un Corbière italien sur le recueil au-delà des identités bretonne et parisienne.