Résumé : L’œuvre de Georges Rodenbach est bien plus riche qu’il n’y paraît. Bien introduit dans les réseaux d’artistes parisiens, sa principale activité réside dès lors dans le journalisme. Grand admirateur de l’œuvre de Mirbeau, il y voit la perpétuelle et incontournable présence de la mort, comme si la lecture de L’Abbé Jules fonctionnait comme un miroir tendu à ses propres préoccupations humaines et littéraires.