Résumé : L’étude approfondie d’une correspondance à une voix, renforcée par le corpus de l’épistolier russe, permet de conclure non seulement à une immense amitié nouée entre Mérimée et Tourguéniev, mais surtout à une confraternité littéraire qui dépasse le stade de la collaboration et ouvre des champs inexplorés dans l’univers mériméen, notamment la création assistée.