Résumé : S’il est indéniable que la Première Guerre mondiale constitue, historiquement parlant, ce point de bascule à partir duquel la puissance européenne s’étiole au profit de l’Amérique, toutes les questions posées doivent l’être selon un double éclairage : celui de l’anti-américanisme et celui du prisme littéraire, lequel intéresse précisément Louis Dumur qui rédige, juste avant sa mort, le cinquième et dernier volet de ses romans de guerre : La Fayette, nous voici !