Résumé : Si la Suisse devient, de par sa neutralité, l’épicentre presque naturel du pacifisme européen, celui-ci motive l’apparition d’un grand nombre de revues. Distribuées selon des zones d’influence, acquises à l’un ou l’autre camp, elles rythment pour une bonne part, jusqu’à la fin des années vingt, la vie intellectuelle de la Confédération.