Résumé : Le « roman historique genevois » de Théodore Aubert, 1814, et le roman de Dumur n’ont apparemment pas grand-chose en commun. Plusieurs éléments de structure émergent cependant et nous invitent à reconsidérer les sources historiques auxquelles ont puisé les deux hommes en même temps que les canons littéraires auxquels ils se sont soumis.