Résumé : La tonalité d’Un estomac d’Autriche participe sans doute moins du sérieux historique que du grotesque. C’est en effet à l’esprit carnavalesque que décrira Mikhail Bakhtine quelques décennies plus tard qu’il convient de rattacher l’atmosphère du roman. La table à laquelle Dumur invite son lecteur – au temps bienvenu d’une restauration à double sens – a, de toute évidence, des accents rabelaisiens.