Résumé : La correspondance échangée entre Louis Dumur et son frère Maurice est importante à deux niveaux : elle montre d’abord l’enracinement genevois de Dumur, perceptible dans une partie son œuvre, et elle pose les bases d’une « mémoire » à la fois littéraire et historique dont nous pouvons mesurer, à cent ans d’écart, toute l’importance.