Résumé : Louis de Gonzague Frick (1883-1958), ami d’Apollinaire, a publié un éloge de Lautréamont en vers réguliers parmi ceux d’autres écrivains admirés, et il a fait allusion à son œuvre dans un second poème. La langue cryptique de ce poète excentrique est expliquée, et la réception des Chants de Maldoror à son époque est rappelée.