Résumé : C’est dans l’œuvre de Poe, à laquelle Isidore Ducasse a plusieurs fois fait référence, qu’il put trouver la figure inspirante du maelstrom, ce tourbillon aquatique qui, par ses mouvements centrifuges et centripètes, devait inspirer la structure même des Chants de Maldoror. Ce n’est pas là néanmoins le seul emprunt de Ducasse à l’œuvre du novéliste américain qu’il aura vraisemblablement découvert à travers Baudelaire.