Résumé : Dans Bella et Églantine, Paris est décrit en liaison étroite avec le temps actualisé par une expérience le plus souvent envisagée à travers une promenade qui se présente comme la possibilité de transformer l’espace urbain en un parcours transfiguré par le geste créateur. Les promenades à travers Paris, envisagées en tant que cheminement à l’extérieur incluant aussi l’idée de cheminement mental, intellectuel et spirituel, mettent en valeur les aspects de l’écriture giralducienne.