Résumé : Permanence du sujet éternel de Balzac chez d’autres artistes. Analyse de Giraudoux qui prend toutes libertés avec le texte originel, multiplie les créations de dialogues en reprenant tout ou partie de ceux existants. Comparaison avec Rivette, qui choisit un parti pris aux antipodes : il refuse d’ajouter des scènes et va vers un assèchement, à l’os ! Giraudoux poursuit son but par addition, Rivette par soustraction.