Résumé : Nombreux sont les sons désignés dans les pièces. S’agit-il, pour Giraudoux, de céder, au-delà de l’effet de réel, à une nécessité dramatique ? L’emploi de procédés conventionnels ne révèle-t-il pas, outre un véritable sens du théâtre, une mise à distance par l’humour ou le métathéâtre ? Cris et musique ne sont-ils pas le signe d’une dramaturgie qui joue avec les limites du langage ? Les choix du tandem Jouvet-Giraudoux ont-ils confirmé ou infléchi certaines orientations dramaturgiques ?