Résumé : Dans Lectures pour une ombre, Dollero incarne une poésie tout humaine, la seule audible en temps de guerre, et représentée dans Amica America, par le poète Alan Seeger. Car la guerre a défiguré le langage. Par la suite, Giraudoux semble dévaluer complètement la poésie ; mais il célèbre Claudel et attend le salut de ce « nouveau romantisme » dans Littérature où il déclare que les poètes sont seuls capables de rendre aux Français « l’honneur, le luxe, les grâces, et surtout les responsabilités ».