Résumé : Cet article s’interroge sur la nomination pendant la Première Guerre mondiale, telle que la travaille Jean Giraudoux dans ses textes de guerre. La question concerne non seulement les anthroponymes et les toponymes, mais aussi le sort d’une langue tout entière, le français, qui est, depuis 70, en voie de disparition en Alsace, et qui doit être sauvé.