Résumé : Écrire la mort à la guerre a une dimension tragique, car les soldats sont à la fois spectateurs et victimes potentielles. Comme ceux de Barbusse, Cendrars, G. Chevalier, Dorgelès, Giono, les récits de Giraudoux portent la trace d’expériences où la mort est présente. Son évocation révèle les choix stylistiques des écrivains, dans la perception de leur environnement de combattants ainsi qu’une sensibilité particulière dont on retrouve la trace dans les œuvres ultérieures de Giraudoux.