Résumé : Si, dans Pleins Pouvoirs, l’usage que fait l’écrivain du terme « race » pour parler des Français peut sembler à certains moments se rapprocher d’une conception « biologique » de la notion, c’est parce que ce texte fait apparaître une perception obsédante de l’individu en tant que corps. Et cette obsession est elle-même liée au traumatisme de la première guerre mondiale.