Résumé : En partant de la correspondance entre Francis Ponge et Gaston Gallimard, le présent article entend se pencher sur cette face cachée de la littérature, et plus encore de la poésie, qu’est l’argent. C’est aussi la question de la valeur de l’œuvre qu’il se propose d’aborder, à partir des échanges épistolaires entre Ponge et son éditeur.