Résumé : L’article porte sur l’ambassade à Venise de Jean de Morvillier à la fin du règne de François Ier. Après le dévoilement du réseau d’espionnage mis en place par son prédécesseur Pellicier, Morvillier doit reconstruire un rapport de collaboration avec les Vénitiens, sans renoncer à récupérer les agents dispersés et à en recruter de nouveaux. Il s’entoure alors d’humanistes, de lettrés, d’espions, et d’hérétiques.