Résumé : Cet article soutient que les deux passages sur Constantinople dans Le Livre du chemin de lonc estude de 1402-1403 sont cruciaux pour la compréhension du texte de Christine. Dans le premier passage, elle rend compte des splendeurs et des ruines de la capitale actuelle de l’Empire byzantin ; dans le second, elle exprime ses espoirs pour l’avenir de la ville. Christine fait l’éloge de la gouvernance actuelle de Constantinople par Jean de Châteaumorant.