Résumé : L’article examine les discours théoriques qui fondent l’ars historica du Quattrocento et les confronte à quelques productions historiques pour mesurer les effets d’un double phénomène : l’intégration de connaissances issues des traductions des historiens grecs d’une part et la rhétorisation poussée de la narration historique d’autre part. S’y révèlent les contradictions d’une historiographie en mal de légitimité théorique et académique.