Résumé : Des vingt-cinq miniatures consacrées aux Minéides, six ornent le récit-cadre qui les met en scène, tandis que les autres ponctuent les fables qu’elles se racontent. Interroger l’insertion des images dans le texte ainsi que la fidélité fluctuante avec laquelle elles illustrent ces histoires, c’est constater qu’elles tracent une ligne de partage entre le récit de Pyrame et Thisbé et les autres contes. Il s’agit, à des fins d’édification, d’illustrer le pouvoir de la double Vénus.