Résumé : Le langage naturel présent un type de complexité analogue à celle qui caractérise les systèmes biologiques, psychologiques et sociaux. Leur type de complexité est tel qu’il n’y a aucun modèle formel capable de capturer d’une façon complète le déroulement des phénomènes pertinents. Entre les modèles locaux qu’on peut développer, ceux qui fonctionnent au croisement entre langage et cognition paraissent beaucoup plus éclairants par rapport aux modèles plus habituels basés sur l’opposition entre syntaxe et sémantique ; en plus, la stratégie de développer une multiplicité de différents modèles partiels peut être beaucoup améliorée en développant des batteries de modèles corrélés, comme ceux qui sont basés sur l’interaction entre les dimensions structurelle et fonctionnelle.