Résumé : Dans la première moitié du xixe siècle, plusieurs œuvres de Nodier sont traduites, qui le montrent comme auteur de nouvelles sentimentales, de légendes et d’articles de critique littéraire. Or, sa réputation se basait aussi sur leurs originaux disponibles en Russie et sur la presse française. Ainsi, on avait l’idée de Nodier promoteur du romantisme, Nodier bibliographe et linguiste. Mais on savait très peu de Nodier « dériseur sensé ». Pour l’apprécier, il fallut attendre le xxe siècle.