Résumé : Les contemporains de Nodier ont pu goûter une abondante production dramatique qui n’a pas franchi les feux de la rampe, voire qui n’avait pas vocation à le faire dans de nombreux cas, qu’il s’agisse de poèmes ou même de pièces de théâtre. Ce paradoxe d’un théâtre sans la scène, et qui appartient pourtant à l’histoire du théâtre, invite à s’interroger sur les potentialités ainsi révélées du genre dramatique et sur les vertus du spectacle des mots.