Résumé : Durant plus de trois décennies et en dépit des différences géographiques, les voyages dumasiens ont en commun le regard bienveillant porté sur les peuples. L’autre n’est pas pur exotisme chez Dumas en voyage, il a un visage et une histoire personnelle, il n’est exotique qu’en surface et la race, sous sa plume, est une histoire de peuple, mais jamais d’hommes : la théorie, toute débonnaire qu’elle soit, ne résiste guère chez lui à la rencontre.