Résumé : Morand porte un regard très élogieux sur le travail de diplomate de Claudel au plan économique, ce que confirme un fragment de texte inédit que nous produisons. Le besoin d’ancrer la littérature dans l’univers économique fait de Claudel un précurseur des écrivains actuels, désireux de s’impliquer dans les problématiques sociétales. La « liberté de l’esprit » qui le définit est indissociable de son libéralisme économique.