Résumé : Lu, traduit, recensé et représenté, Claudel est progressivement tombé dans l’oubli, du fait de sa foi catholique et de son style éloquent mais obscur. Malgré le lent regain d’intérêt de la dernière décennie du XXe siècle, la connaissance de Claudel demeure limitée en Italie aux seuls milieux intellectuels, notamment catholiques. Cette étrangeté est visible dans les traductions italiennes de Claudel, précédées de brèves introductions, où le traducteur essaie de situer l’œuvre et son auteur.