Résumé : Dans cet échange postérieur aux dernières représentations, Stanislas Nordey évoque son lien avec l’œuvre de Claudel, son goût pour la création contemporaine à l’opéra, les projets successifs de mise en scène conçus pour le Soulier de satin de Marc-André Dalbavie (à l’Opéra Bastille puis au Palais Garnier), la scénographie du Soulier, la « vérité » du plateau, la puissance des circonstances et de l’accident, la nécessaire désobéissance du metteur en scène face à l’auteur.