Résumé : La deuxième partie du nô de rêverie entraîne Claudel à l’élaboration de sa propre dramaturgie fondée sur la réactualisation du passé. Mais son affinité avec elle remonte à sa découverte de l’attitude immobile d’un acteur du théâtre annamite représenté à l’exposition universelle de 1889. Il en profite pour créer sa propre dramaturgie à partir de Tête d’Or.