Résumé : La correspondance privée entre Alexis Leger et Paul Claudel, regroupée pour la première fois dans le cadre de cette edition, est publiée dans son intégralité, c‘est-à-dire sans les coupes qu’avait pratiquées Alexis Leger lors de la publication de ses lettres à Claudel dans la Pléiade (1972). L’échange croisé, et le rétablissement des parties tronquées laissent voir la complexité d’une relation qui oscille selon les périodes entre distance et amitié affectueuse. Claudel s’y montre sans doute plus sincère.