Résumé : Cet essayiste, critique littéraire, traducteur, poète, s’est donné la mort en 1936 à 24 ans… laissant parmi quelques textes majeurs cette analyse (1934) du « Soulier de Doña Prouhèze ». Eugen Gottlob Winkler y célèbre l’absolue liberté du « chef d’œuvre » qu’il conçoit du vide à la plénitude, dans sa globalité depuis le plus minuscule détail, jusqu’à l’indiciblement grand, et, plus remarquable encore, dans sa temporalité/éternité singulière et son irrésistible mouvement.