Résumé : Entre le terrible ennui que Claudel tire en 1935 d’une représentation de Bérénice et l’hommage qu’il rend au à son auteur dans Conversation sur Jean Racine, s’inscrivent des réflexions éparses. Elles sont à l’origine d’un véritable retournement né du cœur et fondé en raison en faveur de l’illustre compatriote dont il occupe le fauteuil à l’Académie française.