Résumé : Claudel, était professionnellement un « contemplateur de la lettre », extrêmement attentif, pour l’édition de ses propres œuvres à la qualité de l’impression, de la typographie, de l’illustration. Le livre est à la fois pour lui le « réceptacle de la pensée » et un objet d’art, dont il appréciait en amateur le matériau, la texture et l’ornementation. Claudel s’intéresse à la fois à la physiologie et à la philosophie du livre, objet matériel et instrument spirituel.