Résumé : L’article est consacré à la traduction-adaptation par I.A. Aksenov des deux premières parties de la Trilogie des Coufontaines de Paul Claudel, surnommée La Tiare du siècle (1922, inédit publié en 2015), à l’histoire de la tentative de la création du spectacle (1922-1923) au théâtre de Meyerkhold qui fut finalement joué, partiellement, dans ses Ateliers. Il soulève la question des relations entre les genres du mystère et de la tragédie révolutionnaire dans le répertoire étranger du théâtre soviétique.