Résumé : Si éloigné soit-il de Paul Claudel, le romancier Philippe Forest entretient les liens d’une connivence à la fois intellectuelle et personnelle avec cet aîné dont il a découvert les œuvres au cours de ses études à la Sorbonne. Leur intérêt pour la Chine et le Japon comme le voyage vers l’ailleurs est un point commun, de même que leur fort sentiment d’empathie pour les victimes de catastrophes naturelles. Tous deux enfin ont connu le deuil d’un enfant qui les a profondément marqués.