Résumé : Proches de Mallarmé, Gide et Claudel se sont connus vers 1895, chez Marcel Schwob, leur ami commun. Les deux hommes entretiennent des relations d’abord polies puis de plus en plus amicales. On ne saurait mettre en doute la réelle amitié que l’un éprouvait pour l’autre – en dépit de bien des points de vue divergents, voire opposés. La contribution retrace l’évolution de cette Correspondance, publiée en 1949, et propose quelques documents inédits, reproduits en annexes.