Résumé : Nous présentons les lettres retrouvées de la correspondance de Claudel et Édouard Herriot (1913-1951), maire de Lyon à plusieurs reprises, ministre, président du Conseil, président de la Chambre des députés de la IIIe République, puis président de l’Assemblée nationale de la IVe République. En dépit de tout ce qui pouvait séparer à l’époque un catholique d’un radical-socialiste laïque, ces lettres témoignent de l’estime et de la sympathie réciproque entre des deux hommes.