Résumé : Cet article revient sur les formes propres du sublime montaignien à la lumière des écrits de Marie de Gournay. Ses traités de défense de la poésie soulignent l’inscription de la recherche montaignienne d’une langue qu’il dit non pas sublime, mais « gaillarde », dans une vision morale et politique d’une histoire de l’illustration de la langue française qu’elle continue d’écrire.