Précisions
concernant le Bulletin no 59

Chères et chers abonnés,

Pour faire suite à une demande légitime assortie de reproches, l’équipe de rédaction du BSIAM a souhaité donner quelques précisions sur la composition d’un numéro antérieur (no 59) consacré au « Dialogue des arts dans les Essais » dont Dominique Bertrand avait conçu le projet à la suite de plusieurs manifestations étalées dans le temps, comme le rappelait très clairement une note de son texte introductif.

À cet égard et même si cette note donnait les indications précises concernant la provenance et le contenu de ce dossier, nous regrettons de ne pas avoir fait apparaître le titre de manière explicite dans sa présentation, ce qui aurait été plus immédiatement identifiable pour les lecteurs.

De manière plus large et pour répondre aux critiques émises après coup par Dominique Bertrand déplorant une organisation du dossier différente de ce qu’elle avait en tête, il nous faut ajouter un certain nombre de précisions concernant la vie du Bulletin ces dernières années, qui n’a pas été de tout repos comme le savent nos lectrices et lecteurs, même si le rythme plus ordinaire de confection et de parution est en bonne voie de rattrapage.

Ce numéro 59 a été composé à l’été 2014 dans une certaine urgence, du fait de la défection non anticipée de la responsable éditoriale de l’époque, et de la nécessité d’en reprendre la confection à partir des textes et informations transmis aux nouveaux responsables.

En fonction de cette situation impréméditée et des délais très courts qui en résultaient, nous avons fait du mieux possible, essayant de préserver la cohérence des contributions du dossier. Mais il s’est avéré après coup que certaines informations étaient lacunaires et qu’un texte manquait à l’appel. Pour répondre à l’interrogation de Dominique Bertrand sur ce point, nous confirmons que ce texte n’a pas été transmis à la nouvelle 10équipe qui ne s’en est pas étonnée car d’autres contributions indiquées dans le projet n’avaient pas, semble-t-il, trouvé de forme écrite dans ce dossier. Le résultat finalement publié n’a donc pas correspondu aux attentes de Dominique Bertrand, ce que nous comprenons fort bien et ne pouvons que déplorer à partir des informations qu’elle nous a données ultérieurement à l’appui de ses critiques.

Conscients des imperfections qui ont résulté de cette situation, nous assumons bien évidemment la pleine responsabilité de ce numéro dont la confection a été fastidieuse et nous voulons simplement confirmer à tous les abonnés et fidèles du BSIAM qu’il n’y a eu aucune mauvaise volonté ni désinvolture dans la manière d’organiser et de réaliser ce numéro.

L’équipe de rédaction