Résumé : Cet article entend analyser le sens de la formule « La vérité n’est jamais matière d’erreur » du chapitre « De l’exercitation » des Essais, et en tester la fécondité à l’échelle de l’œuvre entière. Il passe donc d’une enquête in abstracto à une lecture du contexte où elle prend place, pour ensuite de nouveau la délocaliser en l’appliquant à d’autres aspects et enjeux que ceux qui la caractérisent dans le chapitre 6 du Livre II.