Résumé : Le critique Armand de Pontmartin écrivait que « M. de Vigny mettait la dernière main aux délicates arabesques de Stello ». Œuvre inclassable et résistant aux catégories génériques, Stello est innervé par la figure de l’arabesque, laquelle, si l’on suit les propos de Pierre Schoentjes, est « une des figures liées à l’ironie depuis le romantisme ». Apparentée au witz, défini par Schlegel, celle-ci permet, sous une forme distanciée et ludique, de proposer une réflexion spirituelle.